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Il faut bien s'occuper
Quand on est blessé, c'est dur de ne plus être rythmé par les entraînements et les compétitions. Du coup, j'en "profite" pour faire des choses que je ne peux pas faire quand je suis en pleine bourre.J'ai, par exemple, ligaturé mes roues et je me plonge dans le livre d'un sportif, atteint de la même maladie que moi, la spondylarthrite. Il s'agit de Lionel Comole, pilote automobile, qui semble avoir plus de mal à supporter la maladie que moi. (cf "La colonne bambou").J'ai hâte de reprendre le vélo, mais je sais qu'il faudra y aller progressivement.
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